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Un grand merci à Bertrand et à Michel pour le partage de ces informations

Information transmise par Bertrand Hugot

Le JMO du 168ème R.I.F. de juin 1940 consultable en ligne
Le JMO (Journal de Marches et Operations) du 168ème Régiment d’Infanterie de Forteresse est conservé aux Archives municipales de Toulouse. Les 61 pages sont consultables en ligne :
http://basededonnees.archives.toulouse.fr/4DCGI/Web_FondsListeRegistres/1523/ILUMP25625
cote 2Num29
L’essentiel de ce journal concerne les combats livrés dans notre secteur entre le 16 et le 25 juin 1940, dont la bataille de Pont-Saint-Vincent !
A consulter absolument, ce document avait été mis à la disposition de Roger Bruge pour le tome 2 des Combattants du 18 juin.
Avec cartes tracées par l’auteur, et photos .







Archives municipales de Toulouse - 2 NUM 29


Amédée Louis Emile Juillaguet est né à Saint-Rome-de-Cernon (Aveyron), le 27 novembre 1890. Il fait l'école militaire d'infanterie de Saint-Mexan (Deux-Sèvres). Officier de carrière, il participe aux combats de la guerre 1914-1918 et à l'occupation de l'Allemagne (Kaiserslautern) qui s'ensuit. Pour ses actions, il obtient la Croix de guerre 1914-1918 et cinq citations. Il se marie à Toulouse le 18 mars 1918 avec Marie Augusta Mignard. De 1926 à 1929, il participe à la guerre du Rif au Maroc où il obtient la Croix de guerre du théâtre des opérations extérieures et une citation. En 1929, il est capitaine à Tarascon (Bouches-du-Rhône) au 27e régiment de tirailleurs algériens. De 1937 à 1939, il est commandant à Toulouse. Durant la guerre 1939-1945, le premier bataillon du 168° régiment d'infanterie de forteresse dont il est commandant est positionné sur la Ligne Maginot. Suite à l'armistice du 22 juin 1940, il est fait prisonnier à Pont-Saint-Vincent (Meurthe-et-Moselle) et déporté à l'Oflag (Offizier-Lager ou « camps d'officiers ») VI-A à Soest, en Westphalie. En 1944, de retour en France avec le grade de Colonel, il obtient la Croix de guerre 1939-1945 et une citation. Il décède à Toulouse le 10 avril 1984.
(source Archives municipales de Toulouse, 2 NUM 29)



Information transmise par Michel Auburtin

L’incroyable histoire du « syndrome K »
Alors que le monde est aujourd’hui confronté à cette épidémie de coronavirus et que 3,4 milliards de personnes (soit 43% de la population mondiale) à travers la planète sont confinées, à découvrir, l’incroyable histoire du « syndrome K », qui se passe en 1943 dans un hôpital de Rome en Italie :


(lien en pièce jointe)



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